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HISTOIRE DE L'ALGERIE

HISTOIRE DE L'ALGERIE

Sont présentées ici des recherches historiques sur l'Algérie du XIXème siècle et de manière générale sur le Maghreb et la France. Aux recherches s'ajoutent des points de vue, des notes de lecture et des instruments de travail.


Brève histoire des Ouzellaguen au XIXème siècle

Publié par Abdel-Aziz Sadki sur 13 Septembre 2012, 02:04am

Catégories : #Histoire des Ouzellaguen

BREVE HISTOIRE DES OUZELLAGUEN AU XIXE SIECLE

 

Les Ouzellaguen forment avant tout une 'arsh, mot arabe traduit en français sous le terme de tribu, très anciennement établie dans le pays, occupant une section de la chaîne du Djurdjura et de la vallée de la Soummam. Ibn Khaldun la signale dans son Histoire des Berbères et la rattache au groupe des Zwâwa, terme arabe qui est une transphonétisation du berbère Ighawâwen (pluriel d'Aghawa). Le nom désigne à la fois le groupe humain et le territoire : la conjonction des deux est à noter. Ibn Khaldun utilise la forme arabe Wazaldja pour transposer la forme berbère Ouzellaguen. Mazaldja est également un usage fréquemment reproduit en arabe.

Quand les Français envahissent l'Algérie, les premiers renseignements proviennent de Bougie. En 1847, Bougie précise, sans erreur par rapport aux états statistiques précédents, que la tribu se compose de 15 villages, représentés par 20 cheikhs (shuyukh, singulier shaykh), également dénommés par ailleurs imzouaren, "mezouars" ou "premiers" en berbère, dans le sens de primus inter pares ou encore de kabar, "grands" en arabe. Nous avons là probablement la jama'â informelle de la tribu, qui n'est réunie qu'en des circonstances exceptionnelles. Ainsi, les villages les plus peuplés ont sûrement deux représentants, à moins que cela ne soit la traduction de clivages sérieux qui traversent certains d'entre eux ou la représentation d'hameaux assez importants, comme Ighil n'Tara, parfois qualifié de village. L'assemblée peut le cas échéant être grossie de personnalités, surtout quand l'objet de la réunion devient houleux. En 1851, on signale l'existence de trois fractions (farqa en arabe et en kabyle), chacune regroupant cinq villages. Un village, thaddart (pluriel thuddrin) plus populeux que les autres domine la fraction et s'associe dans une sorte de duopole laïc/religieux à un village religieux, à vocation sacerdotale, soit de type chérifien, soit de type maraboutique. Cette géométrie parfaite est exceptionnelle et n'est peut-être pas due au hasard. L'équilibre est probablement le résultat de longs processus historiques, faits de heurts et de négociations, visant à terme à limiter ceux-ci, impliquant les lignages et les villages. Chaque village se divise ensuite en plusieurs idermen (pluriel de adrum), c’est-à-dire de grandes familles lignagères, se réclamant chacune d'un ancêtre éponyme et se traduisant dans un quartier villageois distinct. L'adrum est lui-même composé de plusieurs ikhamen (singulier akham), ou maisons, qui concentrent chacun des familles conjugales ou élargies. En fait, pour bien comprendre la société kabyle (et arabe), il faut renverser la vision de la société généralement entretenue. Car la construction réelle part du local, de l'akham et s'élève ensuite par association jusqu'à la tribu. Avant 1851, il existait donc 15 villages juridiquement attestés, hameaux (tawfîq) et amas isolés (tikhlichin) non compris. Telle est l'organisation observée à partir de 1851 :

- fraction d'Ibouziden : villages d'Ibouziden, Tazerouts, Cheurfa (village de chorfas, "authentifié" par les généalogies chérifiennes), Ighil Gou Dlès et Tizi Moghlaz

- fraction d'Ifri : villages d'Ifri, Isgouan (qui compte aussi une famille maraboutique, issue de Sidi Lahlou), Timilyiwin (village de marabouts), Igheban et Imahjadhen

- fraction de Tighilt : villages de Tighilt Lahfir, Nasroun (At Chilla), Tighzirt, Chehid et Sidi Ahmed ou Saïd (Fournane : village de marabouts).

Le lignage maraboutique de Sidi Ahmed ou Saïd exerce la suprématie religieuse de longue date, même s'il est le dernier à se constituer dans le pays, à partir du XVIe siècle. Il entretient une école de deuxième degré, tim'amart, au-dessus de l'école coranique de base. Les tombeaux des saints sont des lieux de pèlerinage fréquentés. Les familles dépositaires de la baraka jouent un rôle arbitral, social, religieux et politique important. 

Les Ouzellaguen sont restés indépendants des Turcs, auxquels ils ne payaient pas l'impôt, appelé laghrama. Comme beaucoup, ils ont probablement pris part aux combats visant à empêcher la prise d'Alger en 1830. Depuis 1833, date cette fois de la prise de Bougie, ils se sont investis dans les combats pour en déloger les Français. Ils participent notamment à la résistance avec le groupe des tribus de la Haute Soummam et du Djurdjura, à celle dirigée depuis 1833 par la famille des Awlâd 'Abd al-Djebbar et à celle du chérif Mûlay Muhammad à partir de 1846. Les Ouzellaguen perdent une première fois leur indépendance en mai 1847. Le gouverneur Bugeaud met sur pied une campagne sur l'Oued Sahel, ayant pour objectif de débloquer Bougie, de la raccorder à Sétif et surtout à la route d'Alger, passant par Aumale (Sour el-Ghozlan). Les Kabyles encerclent la ville depuis 1833. Prenant la tête d'une forte colonne organisée à Alger, avec un effectif peu commun à l'époque, Bugeaud s'adjoint le concours combiné d'une seconde colonne, dirigée par le général Bedeau, qui apporte celles de la province de Constantine. Le combat décisif est celui d'Azrou chez les At Abbès, tribu puissante, une des têtes économiques et géopolitiques kabyles. Bugeaud frappe un grand coup. La destruction terrible qui s'ensuit entraîne la soumission de toutes les tribus de part et d'autre de la vallée, rive gauche comme rive droite. C'est alors que les Ouzellaguen reçoivent leur première organisation imposée par une puissance extérieure (fait qu'ils n'ont pas connu depuis plusieurs siècles, pour le moins) : ils sont commandés par deux cheikhs investis par les Français, mais issus de leurs rangs, Sa'îd ou Muhammad et 'Ahmad ben 'Arrûsh. L'institution est nouvelle : ils ne possédaient pas de cheikh exerçant une autorité à l'échelle de l''arsh. Les deux cheikhs, et donc les Ouzellaguen, relèvent également de l'autorité nominale du marabout d'Ichelladen, Ben Ali Chérif, qui refuse néanmoins d'exercer une autorité concrète, pour des raisons multiples. Les Ouzellaguen retrouvent rapidement leur indépendance dès le départ des troupes, quand la colonne principale reprend le chemin d'Alger par la vallée de la Soummam. Des coups de feu sont échangés à cette occasion. Ils participent à tous les mouvements de résistance, ainsi celui dirigé par le chérif Moulay Brahim.

    

En 1851, s’ils ne sont pas les seuls, les Ouzellaguen sont cependant à l'origine directe de l'essor du chérif Bou Baghla et participent au coup de main sur l''azib (ferme) que Ben Ali Chérif patronne près d'Akbou. Principal propriétaire, il n'en est cependant pas le seul, contrairement à ce qui s'écrit. L'action se porte d'abord sur le village de Selloum, avec un combat important contre le colonel d'Aurelle.  Le soulèvement devient général et entraîne tout le pays kabyle au plus large, cette fois contre Bougie. Mais, le combat du 10 mai contre la colonne de Bougie, sortie de ses remparts, jette l'indécision parmi les insurgés. Surtout, le mouvement finit par échouer par suite de la réaction française. La contre-attaque est menée par les généraux Camou et Bosquet. La bataille des Ouzellaguen, avec celle d'Aïn Anou chez les Ighboulen (Gheboula) est la plus décisive et décide du sort du soulèvement : les combats des 25 et 28 juin 1851 débouchent sur une victoire à l'arrachée des Français, mais terrible pour les Ouzellaguen, malgré le soutien de leurs alliés. Aux nombreux morts, s'ajoute la destruction systématique de tous les villages. Parmi ceux-ci, il en est au moins un qui ne sera jamais reconstruit : deux au moins ne seront pas reconstruits, ce sont Taourirt et en particulier Ighil N'Tara, la clé du dispositif villageois des Ouzellaguen, commandant le premier piémont du Djurdjura dans ce secteur et qui a le premier fixé l'attaque française. Les Ouzellaguen reçoivent un cheikh, qui fait fonction en réalité de caïd. Il est pris dans le village d'Ibouziden et a pour nom Amar ou Braham. La tribu est rattachée une nouvelle fois au cercle de Bougie et ressortit très nominalement du commandement de la puissante famille des Awlâd ‘Abd al-Djebbar (Djebabra), dirigée alors par Ou Rabah ben Shaykh Sa'âd. C'est la consécration du rôle de la fraction d'Ibouziden, qui semble malgré l'équilibre présenté plus haut, posséder une forme de prééminence sur les deux autres fractions, au moins marquée par les circonstances récentes. Les années qui suivent sont parmi les plus dures de l'histoire des Ouzellaguen.

Néanmoins, ils prennent part massivement à la résistance ouverte de la partie de la Kabylie qui échappe encore à la conquête française. Ils sont les seuls, parmi les soumis, avec une partie des Illoulen us-Sameur et quelques Iwaghlissen à le faire avec autant d'ampleur. En effet, le gouverneur Randon veut mettre un terme à l'indépendance kabyle en 1857. Les Ouzellaguen comprennent fort bien que c’est là le dernier acte qui se joue. Défendre l'indépendance de leurs voisins Ighawâwen est la seule chance pour eux de recouvrer la leur. Vaincus, ils sont soumis à une forte contribution de guerre. Quelques années plus tard, ils sont intégrés au bachaghalîk de Chellata (Ichelladen), nouvellement créé au profit de Ben Ali Chérif.

 

Les Ouzellaguen échangent le mezrag, la "lance" avec leurs voisins Izzikiwen (At Zikki) et les Idjeri (At Idjer ou, pour mieux prononcer, At Yadjar). Les trois groupes tribaux s’entendent, avec cette alliance, pour déclencher l'insurrection. Leur soulèvement doit s'interrompre car Cheikh el-Haddad et la plupart des Kabyles refusent de les suivre. C'est Mokranî qui lance le mouvement dans la Medjana. Cheikh el-Haddad est contraint de suivre par la force des choses, c'est-à-dire principalement la défaite française face à la Prusse, la politique désastreuse (au point de vue français) menée par le nouveau commandant supérieur de Bougie, Reilhac, l'union secrète entre les chefs investis d'une autorité par les Français et l'entraînement populaire qui ne peut plus être endigué : le 8 avril 1871, au milieu d'une foule immense et dans la liesse générale, il lance son bâton dans la foule - c'est ainsi que les Français seront jetés à la mer - et déclare la guerre sainte. Les Ouzellaguen sont massivement du mouvement. Ils participent aux opérations, d'abord sous la direction de M'hammad, fils aîné de Cheikh el-Haddad. Seul parmi les Ouzellaguen le cheikh refuse prudemment de suivre l'insurrection et réussit à se réfugier in extremis à Bougie. La répression française s'organise et finit par réduire le mouvement insurrectionnel. Cependant, les Ouzellaguen sont les derniers du cercle de Bougie à faire leur soumission : ils tiennent jusqu'au moment ultime.

 

Le bachaghalîk de Chellata est aboli rapidement et sans ménagement – Ben Ali Chérif se voyant retirer toute action politique et administrative –. Tout le territoire passe sous administration française directe, avec un commandement supérieur et un bureau arabe. Akbou devient tour à tour le siège d'une circonscription cantonale, d'une annexe, d'un cercle et d'une commune mixte. Mais, l’administration est complexe, mêlant superposition,  juxtaposition et gradualisme administratifs. La commune indigène d’Akbou est formée le 12 avril 1872 et les Ouzellaguen y sont rattachés. Akbou devient également le centre d'une commune mixte le 6 janvier 1875. A la répression militaire et politique, s'ajoute une répression foncière dramatique. Le séquestre collectif est apposé sur leurs terres le 22 mai 1872 et devient effectif en 1875 : seul le cheikh des Ouzellaguen et Ben Ali Chérif y sont soustraits. Ils ne peuvent se racheter du séquestre qu'en abandonnant définitivement les terres de la vallée jusqu'aux premiers mamelons montagneux, généralement les plus fertiles.

 

Le séquestre permet d’ouvrir en grand la colonisation des terres. Le centre qui reçoit le nom d’Ighzer Amokrane relève de la campagne de 1875-1876. C'est un nom berbère qui est retenu, celui du cours d'eau qui dévale le versant et afflue dans la Soummam à cet endroit. Une reconnaissance topographique est d’abord faite le 14 juin 1874 par la commission des centres. Le gouverneur général Chanzy donne son approbation l’année suivante. Le centre totalise exactement 1517 ha 58a et 60c, les Ouzellaguen fournissant pour leur part 1062 (ou 1065 selon la source) ha et les Iwaghlissen de la sous-fraction d’Imsouhal le reste. Sont compris dans le centre les terres de quelques rares « indigènes » exemptés de séquestre et les terres communales et domaniales que l’Etat colonial se réserve. Le centre a une vocation agricole : ce n’est pas un véritable centre de colonisation, mais un ensemble de fermes coloniales. Le nombre des familles d’abord fixé à 15 est ensuite porté à 17 : 7 proviennent de l'Algérie, 10 de France, dont 2 d’Alsace. Les Alsaciens bénéficient d'une attention particulière par suite de l’annexion de l’Alsace et de la Moselle par les Allemands. Le peuplement du centre commence en octobre 1875. La dualité coloniale est désormais directe, immédiate, inscrite dans le paysage et dans les relations journalières entre les Ouzellaguen et les colons. Les Ouzellaguen ne peuvent plus accéder à la vallée sans passer par le centre colonial, à moins de suivre le chemin parallèle des crêtes, plus difficile et beaucoup plus long. Le centre d'Ighzer Amokrane fait d'abord partie de la commune indigène d'Akbou, est rattaché le 1er mai 1876 pour former une section de la commune mixte du même nom, est transféré le 27 avril 1877 à la commune mixte, enfin le 20 mars 1883 à la commune de plein exercice toujours du même nom : le glissement vers le régime civil est devenu total.

 

Les Ouzellaguen demeurent sous le cheikhat de Sî Amzian ben Mohamed Areski ou Idir, né en 1846, qui a succédé à son père mort en poste. C'est le troisième cheikh (caïd) en titre, nommé par les Français depuis 1851. Il est révoqué le 29 octobre 1875 pour divers motifs, notamment de concussion et remplacé en novembre par Sî Belkacem ben Saïd ou Slimane, venant des Mcisna. Il n'aura pas fini de défrayer la chronique. Le cheikhat (caïdat) est d'ailleurs un point de cristallisation des tensions et des affrontements entre les Ouzellaguen pendant toute la période de l'occupation coloniale française (deux titulaires, de la famille, sont d'ailleurs assassinés ou exécutés). De Beaumont, chef de la circonscription d’Akbou propose le 3 septembre 1872 de former une djemâa de tribu pour administrer les Ouzellaguen et seconder le cheikh. C’est là aussi une institution parfaitement nouvelle. Pour l’heure, beaucoup vivent dans la plus grande misère (quelques uns ont perdu la totalité de leurs terres). Les Ouzellaguen travaillent les terres séquestrées, désormais comme locataires provisoires. Ce qui leur reste, après amputation des terres vouées à la colonisation, est soumis aux opérations du sénatus-consulte de 1896 à 1899. Le 15 mars 1900, l’opération est promulguée. Le territoire est érigé en douar. Le douar est une organisation sociale d’origine arabe extérieure au pays kabyle, dévoyée dans un but totalement différent et généralisée par les Français à l'ensemble du Tell algérien. La tribu, préalablement transformée en section communale, n’a officiellement plus lieu d’être, même si elle continue d’exister de manière parallèle et souterraine pour les Ouzellaguen. Le nom d'Ifri est d'abord proposé par l’administrateur pour désigner le douar : c'est finalement celui d'Ouzellaguen, sur décision du gouverneur général Cambon, qui est conservé. Un projet de division en plusieurs douars ne prendra pas de consistance : le gouverneur le repousse également. Les Ouzellaguen conservent leur nom et leur unité ce qui les maintient, malgré les désastres, dans la longue durée de leur existence collective historique.

 

© Abdel-Aziz Sadki

mis en ligne le 13 septembre 2012

modifié le 26 novembre 2012

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B
Bonjour Monsieur Abdel-Aziz Sadki, <br /> Je suis un étudiant belge d'origine Kabyle qui réalise actuellement un mémoire de master en anthropologie à l'université libre de Bruxelles. Ma thématique touche à la construction identitaire en Kabylie. Ayant travailler à Ouzellaguen, je m'intéresse à l'histoire de la région et de cette tribu. <br /> Je me demandais donc quelles étaient les sources qui vous ont permis d'écrire cet article très intéressant ?<br /> <br /> Cordialement, <br /> <br /> Behnous Sofian
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A
D'abord, c'est un travail scientifique d'historien. Les sources sont très nombreuses. Pour une partie de l'histoire des Ouzellaguen, je vous renvoie à mon blog, "histoire de l'Algérie", dans la partie introduction du travail "Ouzellaguen, 25-28 juin 1851 : autopsie d'un grand combat", 1989. Essentiellement des archives françaises : Archives Nationales d'Outre-Mer à Aix-en-Provence, Archives du ministère de la guerre à Vincennes (SHAT), Archives Nationales à Paris, Bibliothèque Nationale à Paris, des archives privées etc. et une très grande bibliographie que je ne peux citer ici. Mais, aussi une enquête de terrain, auprès de certaines personnes, une analyse du registre matriciel de l'état-civil (le premier en date, établi par les Français) et un parcours topographique de tout le territoire (villages, chemins, paysages etc.). Ce travail a donc aussi une dimension d'étude géographique et sociologique. Par ailleurs, j'ai étudié les Ouzellaguen sur une plus longue période historique, dans le cadre d'un mémoire de maîtrise, non mis en ligne. Probablement que votre travail est bien avancé : je vous conseille de (re)lire attentivement le travail de Bourdieu, "Sociologie de l'Algérie", notamment la notion essentielle de "démocratie gentilice" ignorée par beaucoup d'auteurs, même s'il s'agit pour l'essentiel d'une lecture intelligente des ouvrages de Hanoteau et Letourneux.
B
amar oubraham c'est qui de quel famille actuellement aussi il manque ca fin tirible il falait la dire
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A
Racontez votre version. En histoire, les versions transmises et modifiées par les mémoires familiales et locales sont également importantes. Donc n'hésitez pas le faire. Sur mon blog par exemple. Pour le moment, je n'ai pas le temps de mettre en ligne d'autres aspects importants de l'histoire des Ouzellaguen.
M
Bonjour Monsieur Saddeki,<br /> encore un MERCI pour ce blog. un espace très riche.<br /> Je vous juste savoir si vous avez recu mon message du 31 octobre.<br /> Tres cordialement<br /> Mhani MOUTERFI
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K
Bonjour, votre article m'a appris que mon arrière arriére grand-père est les cheick Areski et que vous étes certainement de la famille de ma mère .Sadki Baya.Merci pour cet article.Ourida

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